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Né en 1928 à Coulonges-sur-l’Autize.
« Machines Poétiques », « Automaboules », réalisées avec du bois, du plomb et des miroirs… Les séries de François Montchâtre témoignent de sa fascination pour les mécanismes, pour la poésie et la magie des machines depuis son enfance où il fabriquait des batteuses, moulins à vent, fusils, voitures et autres « locomobiles ».
Formé au travail du vitrail et à la peinture sur verre à l’école des métiers d’art de Paris, c’est en rejoignant l’Atelier Jacob d’Alain Bourbonnais (La Fabuloserie) qu’il trouve sa voie.
De prime abord, ses machines-sculptures ne fabriquent rien, si ce n’est du rêve et de l’amusement. Mais elles nourrissent toujours une réflexion sans détour sur les travers de notre société.
Plus tard, il réalise des « peintures bavardes » avec pour personnage principal le « Crétin », symbole du petit chef tyrannique et des séries de « crétins », foules de personnages stéréotypés vêtus du même uniforme dans des décors aseptisés.
Il expose dans toute la France et à l’étranger. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses collections et musées.
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